Na fumaça morna de uma baforada, tomei meu lugar
Eu sai, não renunciei ao meu lugar.
Seus braços não pesam nada. Encontro-os como água.
Isto que é fenece disaparece diante dela. Só resta seus olhos.
Longas belas ervas, longas belas flores cresceram no nosso campo.
Obstáculo tão ligeiro sobre meu tronco, como tu te apóias agora.
Tu te apóias tanto, agora que tu não és mais.
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La jeune fille de Budapeste
Dans la brume tiède d'une haleine de jeune fille, j'ai pris place
Je me suis retiré, je n'ai pas quitté ma place.
Ses bras ne pèsent rien. On les rencontre comme l'eau.
Ce qui est fané disparaît devant elle. Il ne reste que ses yeux.
Longues belles herbes, longues belles fleurs croissaient dans notre champ.
Obstacle si léger sur ma poitrine, comme tu t'appuies maintenant.
Tu t'appuies tellement, maintenant que tu n'es plus.
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